Le Râleur !

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MC Solaar, le retour réussi !!

Posted in Musique by Le Râleur
Nov 03 2017
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MC Solar sort ce jour un nouvel album, soit 10 ans après celui nommé « Chapitre 7 »

Le titre « Géopoétique » nous mets de suite dans le bain. MC Solaar semble vouloir rester dans la poésie. Mais y réussit-il après tant d’années ????

Premier titre, « Intronisation » un « remix » de certains de ses morceaux anciens retravaillés. Ca passe bien 🙂

Deuxième titre « Sonotone » qui nous rappelle que les années passent…
Troisième « L’attrape nigaud »…
et on se prend à écouter avec plaisir la totalité de ce nouvel opus.

On retrouve MC Solaar comme il y a 10 ans, poète, parfois incisif, mais toujours correct.

Sincèrement, je suis très étonné de ce retour car il est abouti, à l’inverse de certains « vieux » artistes qui tentent un come back et qui échouent complètement.

Je vous conseille donc cet album, pour peu que vous appréciez cet artiste.

Sonotone
L’attrape-nigaud
Frozen fire
Jane et Tarzan
Eksassaute
La clé
Les mirabelles
Mephisto Iblis
J.A.Z.Z (Kiffez l’âme)
Super Gainsbarre
I need gloves
Adam & Eve
On se lève
Zonmé des zombies
AIWA
Géopoétique
Pili-pili
La venue du MC

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Sunshine on the world

Posted in Musique by Le Râleur
Juil 11 2017
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C’était il y a bien longtemps… en 1978
Un album magnifique, une pochette sublime de Wojtek Siudmak, et pourtant un album totalement inconnu. Production française, même si les textes sont en anglais Jamais édité en CD, je l’ai « rippé » du vinyle pour pouvoir l’écouter sans abimer le support. Quel plaisir !

Je vous conseille de « jeter » une oreille dessus 😉

Paroles : Boris Bergman et Paul Slade
Musique : Jean-Louis D’Onorio

Liste des titres :

Ouverture (Vidéo Youtube)
California’s in the dark
Daybreak forever
Nightzone: No trespassing
Shadows and rainbows
You’re going my way
Panic song
Sinking sand
Just in case
Sunshine on the world
Sign of the butterfly

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Guy Béart, l’avenir c’était plus beau hier

Posted in Musique by Le Râleur
Fév 22 2017
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En 1977 Guy Béart sortait cet album bien étrange, intitulé :

 

« L’avenir c’était plus beau hier »

  1. Étoiles, Garde à vous!
  2. Les temps étranges
  3. Les enfants sur la lune
  4. Alphabet
  5. De la lune, qui se souvient
  6. L’avenir c’était plus beau hier
  7. Années lumière
  8. Les collines d’acier
  9. Voyageur de rayons
  10. Le terrien
  11. Lune est verte

Il n’est jamais sorti en CD à ma connaissance, alors pour ne pas abimer plus que ça cet album vinyl, je l’ai passé en CD. Quel plaisir de pouvoir écouter sans fin cet album sans craquement !!

Je vous conseille fortement de l’écouter, vous serez surpris certes, mais conquis, j’en suis persuadé.

Voici un lien vers les diverses chansons de l’album (sur Youtube)

Guy Béart, l’avenir c’était plus beau hier

 

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Isao Tomita est décédé

Posted in Musique by Le Râleur
Mai 05 2016
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logo_musiqueUne grande figure de la musique électronique s’est éteinte ce 5 mai 2016.
Isao Tomita, pionnier du synthétiseur au Japon , travaille dans le même contexte que Wendy CARLOS et signe la musique des jeux olympiques de TOKYO en 1964 et nombreuses musiques de film et de dessins animés asiatiques.
Il obtient également les Grammy Awards en 1974, pour son album « Snowflakes are dancing », un véritable chef d’œuvre de transcriptions de Debussy dont le célèbre Arabesque qui fut longtemps le générique de la télévision Française pour la présentation des programmes sur FR3 .

Bien que les instruments utilisés soient équivalents à Wendy CARLOS, sa musique aux raffinements asiatiques dégage une sonorité plus paradisiaque et plus cosmique. Isao Tomita se veut plus fantaisiste et plus explorateur de l’espace, il n’hésite pas à utiliser des plages de façon symphonique en utilisant en plus du MOOG modulaire, certains sons mélangés de violons électroniques en provenance du Solina et du mellotron et énormément d’effets multiples (flanger, phasing, reverb, échos,etc ). Cette signature sera toujours reconnaissable.

Parmi les albums les plus célèbres qui auront marqué les années 1970 dans de nombreux génériques à travers le monde, on peut citer « Snowflakes are dancing » d’après De Bussy, « Le triangle des Bermudes » d’après Sibelius et Prokofiev, « L’oiseau de feu » d’après Stravinsky et le célèbre « tableaux d’une exposition » de Moussorgsky/Ravel, et enfin « Kosmos », compilation de divers compositions classiques dont l’arrangement de la guerre des étoiles de J.Williams.

Adieu ami Isao, tu m’as fait rêver, et tu continueras…
Où que tu sois, j’espère que ce lieu est aussi doux et magique que ta musique. On ne t’oubliera pas !

Isao Tomita

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Un nouvel album de Manset ?

Posted in Musique by Le Râleur
Avr 19 2016
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Opération Aphrodite
Gérard Manset nous offre un nouvel album !

Ho joie !  🙂

Je l’attendais depuis des années. Après nous avoir sorti des compilations, des « trucs » bizarre comme « Un oiseau s’est posé » je me suis dis yes ! Le voilà cet album que tous les fans attendent !!

Haaaa ! pourquoi l’ai-je écouté ???? 😥
Je suis tombé de haut sur le dos ! Cruel que vous êtes monsieur Manset …
Où est votre poésie, pas ici ! Votre aptitude à nous faire pleurer, rêver, voyager…. ???
Pas dans cet album fait de gomme… On vous sent fatigué, las, hélas… 🙁

Ma déception me rend sans voix et j’en perds la voie…

Je me suis consolé en écoutant celui de Christophe, Les vestiges du Chaos, qui lui, est magnifique et que je vous conseille fortement.

Je laisse la parole à un certain Johan qui s’est fendu d’un commentaire qui est celui que j’aurai aimé écrire. (Sur Amazon)ligne_verte Comme un « égo »…
Johan le 5 avril 2016

Certains artistes peuvent être trompés par leur vanité, une vanité nourrie par leur propre talent et exacerbée par les louanges unanimes et ils en viennent alors parfois à se croire infailliblement géniaux. Les symptômes de cette inflation de l’ego, on les sentait dans les récentes interviews et productions de Manset : disques sans intérêt de reprises en forme d’auto célébration (« Un oiseau s’est posé ») et propos mégalomanes tenus sans rire dans la presse et la radio.

Manset a souvent entretenu avec la chanson un rapport ambivalent : méprisant pour cet art mineur et pourtant conscient de sa valeur (valeur qui est incontestable) en regard de la médiocrité de 95% de la chanson française actuelle et parfois passée. Mais « les dieux aveuglent ceux qu’ils veulent perdre » et en l’occurrence c’est une déesse, Vénus/Aphrodite, qui s’en est chargé.

Le disque débute d’ailleurs par une brève séquence d’auto citation : des notes semblant empruntées à « La Mort d’Orion » ouvrent les mesures de ce qu’on espère être le digne successeur de l’oratorio de 1970.
Hélas on déchante vite : cet opus là n’a rien à voir avec le chef-d’œuvre bancal mais fascinant du jeune Manset d’alors. Manset a désormais 70 ans et il n’était pas raisonnable d’espérer de lui l’équivalent d’un disque qui ne fut jamais égalé par le troubadour taciturne, sauf peut-être, par l’étrange « Long Long Chemin » de 1972 quoi que sur un mode différent.

En effet, ce qui frappe à l’écoute de cet essai de concept-album vaguement ordonné autour du bouquin de Pierre Louÿs, c’est, contrairement à ces deux albums des années 70, son absence d’unité. Bien sûr « Orion » et « Long Chemin », relevaient eux aussi de l’esbroufe (comme souvent dans les albums de Manset) c’est-à-dire frisaient parfois le ridicule : rimes « hyper riches » de collégien attardé et arrangements pompiers; mais ces albums avaient une cohérence malgré leurs défauts.

L’esbroufe qu’on pouvait y déceler était transcendée par la mystérieuse « magie Manset », une magie due essentiellement à l’originalité et la qualité des compos et à la tessiture vocale envoûtante de ce chanteur sans pareil.

Avec cette « Opération Aphrodite » (titre tiré d’un roman de Jimmy Guieu) Manset n’est pas parvenu à unir les éléments disparates qui le composent, à savoir : le bouquin érotico soft de Louÿs, l’univers S-F de Brantonne et ses chansons. A priori on ne voit pas bien quel rapport entretiennent ces trois composants et à la fin du disque on n’est pas plus avancé. La « magie Manset » n’a pas fonctionné.

Manset à peut-être tenté au forceps d’unifier ces choses éparses mais n’y est pas parvenu ou n’a peut-être même pas vraiment essayé, son égo lui ayant fait considérer tout ce qu’il produit comme grandiose : il avait d’ailleurs, avant sa sortie, à peu-près parlé de cet album-concept comme d’une chose qui étonnerait le public…D’où vient que cet album ne tient pas la route ?

D’abord les passages lus des extraits du livre de Louÿs n’arrivent pas à s’insérer dans l’ensemble; la faute surtout à la diction de la jeune comédienne (Chloé Stéfani) choisie par Manset. Disons-le tout net : les lectures de cette comédienne sont d’une atroce platitude et plombent le disque. Manset, dans ses lectures, lit beaucoup mieux, et sa voix parlée ne manque pas de charme ; il aurait du lire lui-même tous les textes du livret.

De plus les illustrations musicales de ces passages lus sont d’un kitsch incroyable (synthé, ou luth et flûte) ; on a l’impression d’écouter des extraits d’une banale émission de France Culture. Ils sonnent comme des interludes incongrus et lorsqu’ils sont intégrés à une chanson (« Divinités« ) ça ne fonctionne pas mieux. Ces passages lus (surtout ceux récités par Chloé Stéfani) paraissent étrangers au reste de l’œuvre qui sont les chansons.

Et là, les choses ne vont pas bien non plus, car (et on souffre de le dire) les chansons de Manset ne sont pas très bonnes. Le premier morceau sonne comme une resucée d’une séquence saccadée de « Matrice », la sublime chanson finale de l’album du même nom de 1989. Sauf que cette chanson d’ouverture est loin d’être du même niveau. A part à la rigueur « Le lys dans la vallée » et « Que t’ont-ils fait » qui sonnent comme des chutes moyennes de « Manitoba ne répond plus » et « Landicotal » sorte de blues du désert bien enlevé qui évoque un peu l’univers de Moebius.

Mais rien du niveau de « Vivent les hommes » (à mon avis la plus grande chanson française des années 70) ni des morceaux de « Long chemin »; ici les chansons sont banales, poussives ou caricaturales.
Ce ne sont que compos mid tempo sans relief et rimes forcées de textes débités au rank xerox ; je cite : « L’amour en Océanie/ Ce qu’on voit dans l’eau c’est Annie« , « Les bâtisseurs de pont/Comme une poule pond« …

Je rajoute « Et le mouton qu’on tond« , « Tandis que la verdure« , « Comme les bâtisseurs de pont/ Dans le papier crépon. » (Le râleur)

Et il y en d’autres de ce genre. En entendant ça je me suis une fois encore demandé si Manset était aveuglé par son égo au point de ne pas réaliser l’inanité de ce type de rimailleries ou bien s’il ne se moquait pas sciemment du public : une sorte de cynisme supérieur ou d’humour décalé.

On a même droit a une sorte de long « slam » (« Comme un arbre ses fruits » (il y a souvent beaucoup trop de « comme » anti poétiques au possible dans les textes de Manset) ; ce monologue balancé sur un vague slow frise vraiment le ridicule par sa teneur et son style ; c’est tout de même meilleur que du « Grand Corps Malade » c’est certain mais justement à l’aune de ce que peut faire Manset c’est plutôt gênant.

Le tout n’est pourtant pas inaudible et je décerne sans problème trois étoiles à ce nouveau Manset en dépit de son ratage, car un mauvais Manset sera toujours préférable à la bouillie infâme qu’est devenue une chanson française en pleine décadence. Aussi parce que Manset chante remarquablement bien et c’est le seul point fort du disque; sa voix si particulière à la patine à présent usée est vraiment magnifique.

Bref les maniaques de son œuvre comme moi écouteront ce disque de temps en temps tout de même.
Mais très souvent, sûrement pas.

Tout est dit…

Gérard Manset Opération Aphrodite

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David Bowie a rejoint les étoiles

Posted in Musique by Le Râleur
Jan 11 2016
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logo_tristeDavid Bowie, l’extraterrestre, a décidé aujourd’hui de rejoindre les étoiles.

Il laissera sa marque profonde dans le paysage de la musique rock et surtout dans le cœur de ces fans.

 

David Bowie

Adieu l’ami. Toi et Michel Delpech allez pouvoir « papoter » musique 😉

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Michel Delpech est parti

Posted in Musique by Le Râleur
Jan 02 2016
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logo_triste

Michel Delpech est parti ce samedi à 21h30.

Adieu l’ami. Tu ne verras jamais les 73 ans que tu chantais dans « Quand j’étais chanteur ».
Tant pis, de toute façon, on se retrouvera chez Laurette… 😉

Décès Michel DelpechAvec son sourire chaleureux, sa séduction tranquille dans la voix, bien posée, juste, assez économe d’effets, Michel Delpech aura été du milieu des années 1960 la fin des années 1970 l’un des interprètes les plus populaires de la chanson française. Un « chanteur de variétés. Je n’offre pas une “œuvre” », avait-il confié à notre collègue Bruno Lesprit, en décembre 2000. Souffrant d’un cancer de la gorge et de la langue depuis 2013, le chanteur, parolier et compositeur Michel Delpech est mort ce 2 janvier. Il était âgé de 69 ans.

Il restera l’interprète d’une bonne trentaine de grands succès, souvent de jolies romances, un rien nostalgiques, dont il signe les textes, allant parfois vers un léger commentaire social, aux mélodies bien tournées. Nombre de ces airs viennent du pianiste, compositeur et arrangeur Roland Vincent. Une collaboration qui débute dans les années 1960 et qui produit de nombreuses réussites, de Chez Laurette (1965) à Quand j’étais chanteur (1975, avec Jean-Michel Rivat pour le texte)

Le Loir-et-Cher vient de perdre l’un de ses enfants les plus célèbres. Après trois années de combat contre un cancer de la gorge, Michel Delpech est mort ce samedi à 69 ans, moins d’un mois avant son soixante-dixième anniversaire.
S’il était né à Courbevoie, le 26 janvier 1946, Jean-Michel Delpech – son véritable patronyme – a passé une partie de son enfance en Sologne, entre Dhuizon où résidaient ses grands-parents et la Ferté-Saint-Cyr où vivait une bonne partie de sa famille et où sa mère a vécu une partie de sa retraite. Ses souvenirs solognots lui avaient inspiré deux « tubes » qui avaient trusté, à, l’époque les premières places du hit-parade : le « Loir-et-Cher » bien sûr (1977), mais aussi « Le chasseur » (1974).

Chemins de traverse

Le cours de sa carrière et de sa vie personnelle, marquée par plusieurs épreuves, l’avaient éloigné du pays de son enfance, mais il y est longtemps revenu régulièrement, avant de prendre quelques distances après le décès de sa mère, alors qu’il était lui-même frappé par la maladie. « J’adore la Sologne, confiait-il à la NR voici une dizaine d’années, en marge d’un concert donné à la Halle aux grains de Blois. Cette région, dessinée par les forêts et les marécages m’inspire un profond sentiment de mélancolie. J’aime marcher sur les chemins qui traversent les bois, défoncés par le passage des sangliers. C’est une région austère mais pas dans un sens péjoratif. J’aime l’austérité. Là-bas, ça respire la tranquillité. »

La tranquillité, Michel Delpech l’avait aussi trouvée à l’intérieur de lui-même, en se tournant vers la religion. Il était d’ailleurs venu en débattre en février 2000 avec les paroissiens de la Ferté-Saint-Cyr, à l’invitation de l’abbé Michel Aubert. « Je me suis lancé, très vite à 17-18 ans dans le monde du spectacle qui a été toute ma vie, avait-il alors raconté. Le succès, la gloire, sont des choses qui nous bouleversent, mais cela ne nous nourrit pas finalement. J’étais quelqu’un qui menait une vie de patachon ! J’ai cherché à travers beaucoup de chemins de traverse. Je me suis intéressé aux philosophies orientales qui ne sont pas mauvaises en elles-mêmes d’ailleurs, mais c’est le christianisme que j’avais au plus profond. »

Fort de cette paix intérieure et soutenu par Geneviève Garnier-Fabre, sa seconde épouse, il avait effectué son retour sur scène au début des années 90, avec une ligne de conduite dont il ne s’était jamais départi. « J’ai repris la chanson, mais pas le show-biz », indiquait-il.

Salut l’artiste !

Michel Delpech, c’était la voix d’une France encore heureuse qui en terminait avec ses « trente glorieuses », où ce n’était plus un drame de divorcer, où le chasseur baissait son fusil pour regarder passer les oies sauvages, où Marianne était jolie et où le bar en face le lycée s’appelait « Chez Laurette. »

Une France où le Loir-et-Cher, qui défilait à petite vitesse derrière les vitres de la Renault 16 des parents dans les embouteillages de la Nationale 20,  prenait des airs sympathiques, tandis que les enfants gigotaient d’impatience sur une banquette arrière dépourvue de ceintures de sécurité. C’était une voix qui faisait les riches heures des « stops ou encore » dominicaux de RTL et des soirées télévisées de l’ORTF concoctées par les époux Carpentier ou Guy Lux. C’était aussi une voix mélancolique et un poil désabusée, mesurant par avance le temps qui passe si vite quand on est chanteur. La voix d’un chic type, plus fragile que frimeur et populaire sans être idiot.

Salut l’artiste !


Michel Delpech – Chez Laurette

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Jeff Lynne : Alone in the universe

Posted in Musique by Le Râleur
Nov 16 2015
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Alone in the universeJeff Lynne vient de sortir un nouvel album « Alone in th universe ».
Il est magnifique, à écouter sans fin !
Vous connaissez certainement ce monsieur… rappelez vous, le groupe Electric Light Orchestra…
Ca y est , ça vous revient  ?? :mrgreen:

9
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Nouvel album de Gérard Manset

Posted in Musique by Le Râleur
Oct 30 2015
TrackBack Address.

logo_musiqueAujourd’hui sort un nouvel album de Gérard Manset,
« The classic alternatif best of 2015 »

Hélas, mille fois hélas, il nous refait le coup du best of. Rien de neuf sauf un inédit « Rimbaud plus ne sera ».

Ok, c’est bien sympa mais l’année dernière on a eu droit à l’album « Un oiseau s’est posé » qui n’a pas déchainé les fans. Beaucoup de morceaux connus et reconnus, avec une légère nouvelle interprétation et quelques invités…

Et cette année, un best of avec 2 CD. J’adore Manset, je me relève sans problème la nuit pour l’écouter, mais il faut qu’il arrête de nous faire ce coup (vache ?)

A quand un VRAI album avec de nouvelles chansons, un nouveau voyage, un autre rêve ???
En panne d’inspiration, besoin d’argent Monsieur Manset ?

Les fans vous adorent, mais ils ont un cerveau…

Gerard Manset - The classic alternatif best of 2015

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Connaissez vous Deuter ?

Posted in Musique by Le Râleur
Août 23 2012
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Connaissez vous Deuter ?

C’est un musicien « spécialisé » dans les musiques dites de relaxation.

Il est né dans l’Allemagne en ruine de 1945, à Falkenhagen. Il commence à jouer avec une flûte, prend des cours, puis fait l’acquisition d’un harmonica. Il apprend le piano, seul. Son oncle est professeur de musique, ses cousins jouent dans des orchestres.
Alors qu’il a une vingtaine d’années, il achète un sitar à Paris et la ramène à Muncih. L’Inde commence à l’attirer. A l’époque, il gagne sa vie comme journaliste jusqu’au jour où il a un grave accident de voiture, frôle la mort, réalise que la vie n’est pas éternelle et qu’il est urgent de se réaliser.

A peine remis, il part en stop et à pieds vers l’Est. Il séjourne longtemps en Turquie, puis en Iran, en rapporte des instruments en Allemagne. Au cours de ses voyages en Inde, il devient Sannyasin (disciple du gourou Osho alias Bhagwan Shree Rajneesh).
De retour en Allemagne, il publie son premier disque, Babylone, avec une peinture représentant la tour de Babel sur la couverture. La maison de disque modifie la pochette sans son autorisation, et le rebaptise D.
C’est l’un des premiers disques à utiliser des sons de nature… Deuter explique qu’il aime enregistrer les bruits de vague, et qu’au cours de ses voyages, il a enregistré toutes sortes de vagues, sur toutes les mers du monde. « Ecouter le bruit des vagues vous conduit dans un espace intemporel. » Ses disques sont régulièrement utilisés par des masseurs, pour la méditation ou pour le Reiki (une technique énergétique à base d’imposition de mains).
Maintenant, Deuter vit au Nouveau Mexique, dans la forêt : il est apiculteur. Sa maison est articulée autour des principes du Feng Shui. Son studio a vue sur la forêt.

 

 

Voici un lien de recherche sur ses compositions sur le site Youtube

 

 

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