Encore un qui n’aurait jamais fait ça lors de son examen du code de la route.
Mais hélas, ce type de comportement dangereux se banalise à l’extrême de la part aussi de personne avec un permis probatoire….
Encore un qui n’aurait jamais fait ça lors de son examen du code de la route.
Mais hélas, ce type de comportement dangereux se banalise à l’extrême de la part aussi de personne avec un permis probatoire….
Un motard, un matin sur une voie limitée à 50kms…
Appréciez les incivilités d’une personne qui utilise une moto sans avoir cet esprit motard…
Un non respect du code de la route bien pensé.
Sens interdit et stationnement sur la chaussée, sans oublier la portière ouverte coté chaussée, histoire de bien faire ch.. le monde.
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Dans le genre pénible, le stationnement sur le trottoir et de préférence à un stop.
On ne voit rien, et on est obligé d’avancer sur la chaussée avec le risque d’accident.
C’est en permanence, mais la police ne fait rien. Elle passe devant sans s’arrêter et verbaliser..
Arrêtez de nous culpabiliser !
Vous les médias,
Vous tentez par tous les moyens de faire culpabiliser le monde face à ces horreurs. Mais nous n’y sommes pour rien, du moins les personnes comme vous ou moi. Au contraire nous essayons d’agir pour aider, on donne de l’argent, on accueille.
En tentant de nous culpabiliser, vous faites le lit de ceux qui sont responsables. Daesh, tous les autres groupes qui tuent, violent, pillent, détruisent, ce sont eux qui sont à l’origine de tout cela.
Ils poussent ces gens à abandonner leurs foyers, leur vie, leurs amis, à se déraciner pour tenter de se sauver face à ces groupes criminels.
Ces pauvres gens sont pris en otages par ces assassins, par les passeurs qui s’enrichissent sur leurs malheurs et finalement par nous, car nous ne sommes pas prêts à un tel flux de personnes en détresse et nous les parquons.
Alors posez plutôt les bonnes questions :
– pourquoi le monde ne fait rien contre ces groupes d’assassins ?
– pourquoi les pays musulmans ne font rien lors que ça se passe chez eux ?
– pourquoi les musulmans ne s’indigne pas plus contre ces atrocités ?
– pourquoi nous ne faisons que nous « élever », nous « indigner » contre ces atrocités ?
– pourquoi nos élus ne font que « twitter », « facebooker » et rien de plus ?
Au lieu de dépenser des sommes folles pour l’accueil et la gestion de ces pauvres gens, pourquoi n’utilisons nous pas cet argent pour lutter et éradiquer ceux qui en sont les déclencheurs et permettre aux familles de vivres chez elles sans risque ?
Pourquoi les grandes puissances ne font que regarder et faire un décompte macabre des morts, des destructions, des viols, des décapitations, des tortures, de tous ces crimes contre l’humanité que nous pensions impossible après la deuxième guerre mondiale.
Et si tout cela servait certaines puissances ?
Et si la mort gratuite et inhumaine de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants servait certaines puissance ?
Et si … et si c’était vrai ?
Alors … QUE FAISONS NOUS ?
On continu à s’élever, à s’indigner et on persiste à vivre en regardant de l’autre coté pendant que d’autres meurent dans l’indifférence générale mondiale ?
La France, cette patrie accueillante, qui ouvre ses portes à tout le monde.
Et voilà comment elle est remerciée.
Des policiers agressés par des vendeurs à la sauvette
(je rappelle qu’ils sont dans l’illégalité et qu’ils profitent de tout et de tous…)
Qui va remédier à cela ?
Vu sur une autoroute vers Toulouse.
Le fraudeur qui prend des risques pour 2,50€
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Je suis maîtresse d’école pour des CM2 de ZEP et pour des CE2 dans une zone de plus en plus difficile : je vis un enfer depuis le premier jour. Je n’ai pas été suffisamment préparée à ce qui m’attendait. Ma formation était trop théorique et la réalité du terrain est ignorée par les formateurs.
À un mois des grandes vacances, je compte les jours qui m’en séparent, épuisée, et à bout de nerf, d’autant que plus de 50% de mes élèves ne sont pas prêts à passer dans la classe supérieure. C’est un désastre sans hasard.
Un système qui nuit aux enseignants et aux élèves
Enseigner, ce n’était pas la profession dont je rêvais quand j’étais petite. Mais, au détour d’une crise économique peu favorable à l’épanouissement de mon âme d’artiste et de petits jobs dans le secteur de l’enfance, je me suis finalement décidée à devenir maîtresse d’école.
Plus l’idée mûrissait, plus elle me plaisait. J’ai eu le concours, et en septembre 2014, j’étais lâchée sur le terrain sans plus de formalité. Le choc fut total et dix mois plus tard, j’ai encore du mal à m’adapter.
Je comprends mieux ceux qui dénoncent ce système où de jeunes enseignants sans expérience sont balancés, sans avoir reçu avant une formation appropriée, dans des zones difficiles où la discipline est une matière qui s’impose de force au programme. Au-delà de les comprendre, je les rejoins.
Je pense que ce système nuit profondément aux enseignants comme aux élèves. Résultat : les jeunes enseignants sont découragés, et les élèves de primaires passent au collège sans avoir le niveau ou la maturité pour le faire. La réforme du collège pourrait se faire dès la primaire, une manière de devancer le problème plutôt que de le régler après coup.
Je ne suis pas considérée comme « la vraie maîtresse »
Le lundi, j’ai donc une classe de CM2 dans une école primaire difficile du 94. Comme je ne suis « que » la maîtresse remplaçante, je n’ai, selon eux, aucune légitimité à leur enseigner quoique ce soit. Ils prennent ma journée de cours pour une continuité de leur week-end. Du côté des parents, c’est pareil. Pour eux, je ne suis pas importante puisque je ne suis pas « la vraie maîtresse ».
Bien sûr, je me suis tout de suite remise en question. En en parlant avec le directeur de l’école et l’équipe d’enseignants, je me suis rendue compte que le traitement que je recevais était imputé à mon statut.
Toutes les autres remplaçantes étaient traitées avec aussi peu de respect que moi, et ça même si elles avaient plus d’expérience que moi. Même si, il est vrai que le fait que j’aurais pu avoir le même âge que les grandes-sœurs des élèves et que je faisais mes débuts dans l’enseignement n’ont rien arrangé.
Le reste de la semaine et à mi-temps, j’ai une classe de CE2 d’une école d’une ville voisine. L’autre moitié du temps, ils ont une seconde maîtresse, qu’ils voient tout autant. Cette position est nettement moins douloureuse à assumer, puisque j’ai exactement le même nombre d’heures avec mes élèves que l’autre enseignante. Ils me prennent donc davantage au sérieux.
« Mon père va venir t’égorger »
Lors du premier lundi, à la rentrée scolaire, j’ai eu le droit à dix minutes d’attention avant que tous les élèves se dissipent. Ma classe de CE2 est surchargée ; 30 élèves c’est beaucoup trop. Au problème du sureffectif d’élèves, se rajoute celui de l’hétérogénéité des connaissances et du savoir. La première chose à faire selon moi pour améliorer ma vie et celle des élèves : faire des groupes de niveau.
Les élèves, les meilleurs comme les moins bons, souffrent tous de cette disparité. Résultat : je suis en retard sur tout le programme et plus de la moitié de mon cours est consacré à la discipline, exercice pour lequel nous ne sommes pas du tout formés ni préparés psychologiquement. Pendant ma formation, on m’a appris à délivrer des cours parfaits, à une classe parfaite qui n’existe pas dans la réalité.
Face à un élève qui me dit que « son père va venir m’égorger » lorsque je le punis, je suis complètement démunie. Lorsque j’avais l’âge d’être en primaire, je n’étais pas dans une zone spécialement favorisée ni défavorisée, pourtant, les paroles de la maîtresse était toujours bus avec une raisonnable attention par l’ensemble de la classe. Ce n’est pas faux de dire que les temps ont changé à l’école.
Les enseignants qui ont plus 20 ans de métier et avec qui j’en parle aujourd’hui notent aussi une détérioration conséquente du respect et du crédit qui sont accordés à la maîtresse ou au maître. Je savais que ce serait difficile, mais si j’avais eu connaissance de ce qui m’attendait, j’aurais réfléchi à deux fois avant de choisir ce métier.
Tout les amuse et rien n’a d’importance
Ce métier est extrêmement fatigant aussi bien physiquement que psychologiquement. Certains des enfants à qui je fais cours n’ont pas envie d’apprendre. Ils considèrent qu’ils perdent leur temps et qu’ils seraient mieux chez eux à jouer. Je n’arrive pas à leur faire cours, tout simplement parce qu’ils n’ont pas envie de prendre le savoir que je leur tends.
Ma classe de CM2 est extrêmement dissipée et même les punitions n’y font pas grand-chose. Plus grave encore, ils les contestent sans cesse. Si je punis deux élèves noirs dans la même journée, j’ai la garantie de me faire traiter de raciste.
Devoir se justifier là dessus est particulièrement pénible, parce que cela sous-entend que le fait que je leur enseigne le même savoir à tous ne suffit pas à prouver que je ne fais aucune distinction entre chacun de mes élèves. Tout les amuse et rien n’a d’importance. Pire, ils ont toujours réponse à tout.
Par exemple, depuis qu’ils ont étudié le droit à la liberté d’expression, ils profitent pour justifier toutes leurs interventions mal venues ou leurs provocations. Ils savent bien qu’ils dénaturisent le concept, mais ils en jouent consciemment. Ils ne sont pas bêtes du tout…
Aucun n’a le niveau pour entrer au collège
S’ils ne sont pas bêtes, ils sont cependant très en retard. Je ne peux pas réellement leur enseigner le programme de CM2, leur niveau est identique vois en dessous de celui de mes CE2. Les lacunes se sont accumulées et sont aujourd’hui presque insurmontables. À part trois ou quatre élèves, sur un peu plus d’une vingtaine, aucun n’a le niveau pour entrer au collège.
Ils savent tous lire, mais beaucoup ne savent pas s’exprimer par écrit. Au-delà des problèmes d’orthographe, ils ont des problèmes de syntaxe. À quelques mois de la 6e, ils ne savent pas s’exprimer en français. C’est décourageant pour moi, mais c’est surtout très triste pour eux.
Les quatre élèves qui s’en sortent mieux que les autres ont la chance d’avoir leurs parents derrière eux. Il n’y a pas de secret. Les moins bons élèves sont ceux dont les parents n’aident pas à faire leurs devoirs ou ne sont pas présents.
J’ai par exemple un élève qui doit se réveiller seul et venir seul au collège tous les matins. Une fois sur deux, il oublie son réveil et loupe le début du cours. Comment lui en vouloir ? D’autres ont déjà leur fratrie à charge alors qu’ils ne sont même pas pubères. C’est normal que l’école passe après tout, quand le tout est déjà si lourd à gérer.
J’envisage de changer de métier
Maintenant que j’ai analysé la situation, je vois bien qu’il me faudra encore beaucoup de travail pour être à la hauteur de la tâche. D’ailleurs, je ne vois pas qu’elle étudiant sorti de la fac quelques mois plus tôt pourrait relever un tel défi.
Mes collègues et les directeurs d’école me disent de ne pas laisser tomber, de m’accrocher. Mais moi, je n’en peux plus. Je me surprends même à envisager de changer de métier, à peine ai-je commencé celui d’enseignant qui finalement ressemblance davantage à celui d’éducateur spécialisé.
Propos recueillis par Barbara Krief
Il y avait longtemps que je n’avais pas râlé !!
Aujourd’hui, c’est contre ces gens qui prennent leurs aises avec leurs véhicules sur des emplacement réservés aux piétons.
Dans ce ce cas, c’est une petite place juste à un stop. Elle permets, en venant de la rue Abbaye de Cîteaux, de bien voir le boulevard de la Paix afin de le traverser ou de tourner sans risque.
Elle permets aussi aux piétons de circuler sans danger.
Hélas, c’est devenu un parking pour camping car, voitures et parfois camions… oui oui !!
Voilà ce que risquent ces personnes :
Perte de 3 points, amende prévue pour les contraventions de 4ème classe, mise en fourrière.
Article R417-9 du Code de la route (Modifié par Décret n°2003-293 du 31 mars 2003 – art. 2 JORF 1er avril 2003)
Tout véhicule à l’arrêt ou en stationnement doit être placé de manière à ne pas constituer un danger pour les usagers.
Sont notamment considérés comme dangereux, lorsque la visibilité est insuffisante, l’arrêt et le stationnement à proximité des intersections de routes, des virages, des sommets de côte et des passages à niveau.
Tout arrêt ou stationnement dangereux est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la quatrième classe.
Lorsque le conducteur ou le titulaire du certificat d’immatriculation est absent ou refuse, malgré l’injonction des agents, de faire cesser le stationnement dangereux, l’immobilisation et la mise en fourrière peuvent être prescrites dans les conditions prévues aux articles L. 325-1 à L. 325-3.
Tout conducteur coupable de l’une des infractions prévues au présent article encourt également la peine complémentaire de suspension du permis de conduire pour une durée de trois ans au plus, cette suspension pouvant être limitée à la conduite en dehors de l’activité professionnelle.
Toute contravention au présent article donne lieu de plein droit à la réduction de trois points du permis de conduire.
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